J’ai fait d’un rêve d’enfant, un projet… et d’un hommage, une ambition.
Pierre-Henri Raphanel


Une carrière guidée par la passion
Passionné d’automobile, Pierre-Henri Raphanel démarre par le kart et devient Champion de France en 1981. La prochaine étape sera l’automobile et il sera Champion de France de Formule 3 en 1985, en remportant le prestigieux Grand Prix de Monaco.
Le pilote voit ses efforts se concrétiser en accédant à la Formule 1 à l’occasion de 17 grands prix durant la saison 1989. Il participe aux 24 heures du Mans à 14 reprises, pour finir 3 fois sur le podium, deux fois 2ième tout en remportant la catégorie GT en 1997.
En 2005, le pilote rejoint la marque qui le faisait rêver depuis ses 8 ans, pour devenir le pilote officiel Bugatti. Il a effectué plus de 10 000 essais sur route, dans le monde entier afin de faire découvrir avec passion et enthousiasme, les différents modèles de la marque.
En juin 2010, Pierre-Henri réalise le record du monde de vitesse à 431,072 kms/h avec une voiture de série : la Bugatti Veyron SuperSport (cf Guiness World Record Book).
En prolongeant son rêve d’enfant, PHR propose aujourd’hui une véritable œuvre d’art de l’automobile, un bijou conçu à partir des plans d’origine de la Baby. Collectionneurs, amateurs passionnés, en quête d’authenticité, peuvent aujourd’hui découvrir la Baby T52 au plus proche de l’œuvre mécanique telle qu’elle a été réalisée en 1927.
Un rêve d’enfant devenu réalité
Un projet ambitieux, 100 ans plus tard
C’est en fouillant dans le garage de mon grand-père, parmi ses vieilles voitures, ses outils, ses pièces détachées et ses livres poussiéreux, que je la vis pour la première fois.
Pas cette petite fille qui adresse une prière au Père Noël, mais l’objet de ses rêves : l’iconique Baby.
Un rêve, une ambition devenue aujourd’hui une réalité à travers cette réalisation inédite et élitiste : donner vie à la Bugatti Baby Type 52 dans sa forme la plus originelle.



L’histoire débute en 1927

À travers le projet Bugatti Baby T52, j’ai souhaité redonner vie à cette petite automobile avant-gardiste ! Après de nombreuses recherches, d’étude de l’ensemble des plans d’origine, de leurs modifications, des améliorations apportées sans être répertoriées, des photos existantes et des observations sur les quelques modèles rescapés de l’époque, j’ai pu avoir une vision précise de ce qu’Ettore voulait créer. Par des tolérances propres à chaque ouvrier lors de sa fabrication d’origine, par méconnaissance ou pour des raisons de coût plus tard lors des rééditions, on s’est éloigné d’Ettore. Ma quête a donc été de reproduire avec la main de l‘homme et de façon artisanale, une réalisation quasi clinique de ce qu’il avait dans son génial esprit !

Réécrire l’histoire à travers la renaissance d’une icône
La Baby fut construite en 1926 par Ettore Bugatti à l’occasion de l anniversaire de son plus jeune fils. Dès 1927, plus de 100 plans sont réalisés pour construire en série la petite voiture électrique qui rencontre un grand succès et enflamme les ventes de l’époque. Des courses sont alors organisées et le petit bolide défraie la chronique entre 1927 et 1936.
Sur les 500 exemplaires produits, il n’en demeure qu’une vingtaine dans la version Short Wheel Base.

Honorer l’héritage
Un projet ambitieux qui se doit d’honorer la construction originelle.
Un héritage familial
L’histoire de la Bugatti Baby T52 est une histoire de famille, une histoire de l’amour d’un père pour son fils et d’un homme pour son métier. L’ambition de ce projet est donc grande : reproduire avec finesse et précision une voiture d’exception.
La Bugatti Baby T52 est un monument, un héritage familial et un marqueur de l’histoire automobile. Le challenge n’est pas tant de respecter sa construction originelle, mais sa conception originelle.


Lorsque Ettore décide d’offrir à son fils une petite automobile comme cadeau d’anniversaire, ce n’est pas le patron, ce n’est pas le Da Vinci de l’automobile ou le génie du marketing qui s’exprime. C’est Ettore le père de famille qui souhaite, comme chacun de nous, donner le meilleur à son enfant. Il ne décide pas seulement de construire une simple petite voiture, mais de créer à l’échelle 1/2 de la célèbre type 35 qui domine et remporte toutes les courses automobiles en Europe, un modèle unique.
Son fils, chevauchant cette Baby dans les allées de l’atelier séduit les clients. De 1927 à 1936, l’homme d’affaire en produira 500 pour répondre à l’engouement.
Une relecture élitiste
La Bugatti Baby T52 s’adresse aux amateurs d’automobiles et d’art, aux perfectionnistes sans compromis où le savoir-faire artisanal a autant d’importance que l’objet exposé, où le voyage a autant d’importance que la destination !
Longerons du châssis en acier, carrosserie en aluminium formée de façon manuelle, jantes et pièces de fonderies en aluminium issues de moules à sable et de modèles en bois, fusées en bronze, radiateur en laiton, rivets en cuivre, garniture de freins à tambour et armatures de siège en bois, siège en cuir rembourrés de crin de cheval, sangles de capots et de roue de secours en cuir avec trait de formoir et bords arrondis… tant de pièces qui nécessitent un goût de l’authenticité unique.

« Les artisans français que j’ai choisi possèdent un savoir-faire unique indispensable à la construction d’une telle merveille ! »
Les meilleurs artisans français sur la production
« À la recherche d’un savoir-faire en voie de disparition, j’ai parcouru la France entière pour réunir une équipe d’artisans et d’artistes passionnés (tôlier-formeur, modeleur, fondeurs, tourneurs, sellier, peintre), tous unis pour honorer ce témoignage du passé et réaliser ce bijou automobile ! »


Une production limitée à 99 exemplaires
Produite à 99 exemplaires, la Bugatti Baby T52 est un objet de collection réservé à un cercle de passionnés et d’esthètes, amateurs d’Art et d’Automobiles.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignement.